mercredi 7 décembre 2016


Le voilà bien, l'affreux dilemme : essayer de lutter contre les dérives du monde moderne, en particulier l'abrutissement des masses pour cause d'hyper-connectivité, mais être condamné à utiliser les outils que l'on voudrait détruire pour espérer toucher le plus de monde possible.
En même temps, qui suis-je pour juger et prétendre changer les choses ? Alors je crois que désormais je vais faire mienne la devise des fascistes italiens : "Me ne frego". Je m'en fous...

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